Pour son cabinet de Propriété Intellectuelle, Charles Descazeaux souhaitait un nom moins protocolaire et moins auto-centré que «Cabinet Charles Descazeaux». Néanmoins, un audit des usages pratiqués dans son métier (très voisins de ceux des cabinets d’avocats) nous a incité à le convaincre de faire reposer sa marque sur son nom : cela est perçu comme une garantie de qualité, de loyauté, valeurs qui s’appuient sur la confiance.

En accord avec le client, il a donc été décidé de nommer la structure CDIP (pour Cabinet Descazeaux Industrial Property)

Dans un univers aux nombreux acteurs, l’objectif était de mettre en avant l’attention et l’implication portées à la protection des inventions de ses clients. Parmi les pistes de logo proposées, voici celui qui a retenu les suffrages:

• Les lettres C et D sont comme deux parenthèses rassurantes qui enveloppent IP – les brevets. Le décriptage de ce jeu se fait grâce au nom «Cabinet Descazeaux» présent sous le picto, qui reprend les parenthèses en initiales.
• Très épuré pour être chic, le lettrage devait exprimer une modernité (brevet est synonyme d’innovation technique) et les valeurs humaines (un cabinet conseille les clients et défend les brevets devant les tribunaux en cas de litige).
• La couleur bleue a été choisie pour sa filiation avec les valeurs technologiques, en prenant soin qu’il ne soit ni trop clair (il devient alors naïf) ni trop foncé (afin de rester lumineux et donc dynamique)

Enfin, afin d’appuyer cette idée, le logo s’accompagne occasionnellement de la signature [ IP matters ], anglicisme qui exprime bien la philosophie de la structure puisqu’il se traduit à la fois par «les matières des brevets » et par « la propriété industrielle est importante».